• 2 situations : <background="http://perso.wanadoo.fr/tinos.camping/santorin_ia.jpg"> Je suis à la maison et nous nous sommes entendus sur quel ferry et son heure d' arrivée ( soit par mail ou portable ). Je vous attends au port et vous emmène au village. La deuxième situation est le taxi, il y en a au nouveau port ou à côté des banques. La course pour Skalados est de 8 minutes, et 7 km, et est à environ 5 à 6 euros. Ci joint la photo du principal croisement vers Skalados, et vous prenez vers la droite.

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  • Vous êtes à l' aéroport VENITSELOS. vous sortez à la porte N° 3. Traversez la 4 voies abritée, et en face vous avez l' hôtel SOFITEL. Sur la gauche avant de traverser la route face au Sofitel, il y a un emplacement de bus et un panneau où est inscrit ATTIKI( voir photo jointe ) , et le long du panneau un tableau des horaires de l' aéroport à Rafina. Rafina est le port dont les ferries partent vers les Cyclades. Le prix du ticket de bus par personne est de 3 euros, le trajet est de 25 minutes maximum. Vous mettez les bagages en soute, pas de problème de sécurité, le chauffeur veille. Descendez quand le bus est arrivé sur le quai du port. Le long du port, il y a des tavernes et des agences de billets. Elle sont pratiquement toutes au même prix. Vous avez des ferries et le billet par personne pour Tinos est de 14 euros, et il met environ 4 heures dans des bateaux très stables et des catamarans ( si le vent le permet ) et le billet est alors à 20 euros . Si vous avez besoin d' autres informations : tinosweb@wanadoo.fr

  • Ce descriptif n’a que pour seul objectif que de faire connaître l’ île de Tinos autrement que par la fixation sur le Monastère. Elle a, selon ceux qui l’ ont visitée , bien d’autres atouts qui sont méconnus, donc par ce texte, vous aurez une vue différente, et ensuite, vous pourrez vous faire votre opinion sur place. Le culinaire : Des détails culinaires ou de spécificités seront donnés, sans autre prétention que de faire en sorte que la nourriture du touriste moyen ne soit limitée qu’ à la « Moussaka » nationale , le Pastitsio ou bien la salade grecque. Des mots de grecs ne seront pas écrits en grec, mais de manière phonétique afin que vous puissiez, sur place, vous faire comprendre, car leurs menus ont ceci de particulier, c’est qu’ ils sont mis à jour en début de saison, et parfois au gré de l’humeur du moment. C’est le fruit de longues années d’observations. D’ailleurs regardez bien, le grec « standard » ne lit pas le menu, il se le fait annoncer par le serveur, c’est un signe de fiabilité qui ne trompe pas. Si vous arrivez dans un restaurant, le serveur étant largement habitué à ce que le touriste ne mange que les plats cités plus haut, il les leur propose. Si dans une deuxième étape vous lui demandez en grec s’il n’a pas fait autre chose, alors la liste s’allonge fortement, et si vous lui demandez s’il n’a pas ceci ou cela, alors la liste complète arrive enfin, et elle est en gros le triple de la première annoncée. Au dessus de chacune des fenêtres et portes des maisons Si vous devez demandez quelque chose, vous commencez votre phrase par « èkètè » qui veut dire « avez-vous »…. Il existe bien des marques d’Ouzo, mais c’est comme chez nous, il y a de la « grosse cavalerie à touriste » et du bon. Que boivent en majorité les grecs, et bien regardez les tables, c’est de l’Ouzo de Mythilène, et très souvent vous verrez du Plomariou. Les touristes, demandent par exemple 2 ouza ( pluriel d’ouzo) alors que le grec commande une « karafaki ouzo », car souvent la petite carafe qui contient 3 ou 4 ouza est moins chère que les 2 verres individuels. Et il est courant que les gens emmènent leur Karafaki d’ouzo quand il s’agit d’une petite bouteille , afin de la finir à la maison. Ensuite attention, s’il vous demande « mai mèzzé » ceci veut dire « avec des amuse gueules », et le prix est alors assez cher, mais vous aurez un petit plat avec des couverts, du pain, et une assiette de petits morceaux de tomates, de concombre, de féta, etc…avec des pics en bois plantés dessus. Bon sur la salade grecque, vous pouvez demander un pavé de fêta ( « Horiatiki mai fêta » ), vous pouvez aussi demander sans oignons ( « horiatiki koris crémidia ») ou bien faire ajouter des capres de Tinos ( super bonnes ) (« Horiatiki mai Capari »). En entrée, si vous ne voulez qu’une salade de tomates ( vous savez des tomates mures et fruitées comme on n’en trouve plus chez nous… : « Tomato salata, mono tomato ». Sur Tinos, au niveau des entrées, vous avez des spécialités locales : des petits cœurs d’artichauts en vinaigrette qui sont récoltés à Kolymbithira. Vous demandez des « Anguinarès. » En entrée aussi, vous pouvez manger quelques sardines : Vous demandez « Maridaki » et si vous voulez un peu de citron pour mettre dessus, vous ajoutez « mai lémonia ». Si vous préférez de la petite friture, ce sera « athérina » ( prononcer le th comme le this en anglais. Au niveau des chaussons faits en « brick » et fourrés, il y a les « Tiropitas » ( avec du fromage de fêta. Il y a les « spanako pitta », la même chose , mais avec des épinards. Au niveau des entrées encore il y a « fava » qui est une purée de fèves de couleur jaune ce qui est très bon aussi. Parfois vous trouverez de la salade de thon, mais attention du thon frais, rien à voir avec notre thon en boite, car une fois que vous aurez gouté celui là, le thon en boite vous semblera quelconque. Ils font aussi des salades de lentilles en vinaigrette. Vous pouvez aussi manger des poulpes, vous en trouverez « psitô » c'est-à-dire cuits au barbecue, et puis « mai xili » c'est-à-dire en vinaigrette, et enfin « mai krassi », c'est-à-dire cuit en sauce au vin, succulent. Mais le poulpe ( « Ktapôdi ») es fait aussi rare , donc les prix s’emballent… ! Ensuite au niveau des plats : D’abord les spécialités de Tinos : La « louza » est un genre de pavé de jambon cru du genre jambon de Bayonne, mais débité en très petites tranches de quelques centimètre de côté. Puis il y a en plat principal la « Loukaniko », c’est cette espèce de saucisse que l’on voit pendue à sécher en vitrine des bouchers de Tinos. Au niveau des plats courants : D’abord le « Youvetzi », ce sera des morceaux de veau en carrés, avec des petites pâtes en forme de riz que l’on appelle des becs d’oiseaux en France., le tout avec une sauce à la tomate et quelques aromates. Il y a le Kounelli stifado », c’est du lapin avec le même genre de sauce, mais avec aussi de petits oignons aigre doux. Un régal. Il y a le « Arni lémonato », de la biquette avec une sauce au citron, qui est aussi un régal. Au niveau des grillades au barbecue, il y a les « païdakia », petites côtes d’ agneau avec un peu d’origan dessus, et il y a les « brittzollès » qui sont des côtes d’agneau découpées, un régal. Sur ces grillades, mettez y un filet de citron dessus, et n’hésitez pas à vous lécher les doigts, ça se fait… ! Au niveau du poisson ( gros modèles ), il est facturé au poids, aussi après votre choix du modèle à la glacière, ils vous le pèsent et vous donnent de suite la ticket de poids ou bien il sera agrafé à la facture. De manière générale le gros poisson est cher car dans la méditerranée il commence à y avoir pénurie. Vous pouvez aussi manger des « guigantès » sorte de haricots géants qui sont avec une sauce divine. Il y a aussi le « Gallèô mai scordalia » c’est un steak de morue avec une purée de pommes de terres un peu aillée, c’est délicieux. En dessert hors saison, vous trouverez de la pastèque, « karpouzi », et aussi du melon, « pèpôni ». Et souvent à la fin d’un repas il est de tradition dans quelques restaurants d’offrir ce genre de dessert désaltérant. Au niveau des boissons, si vous aimez le vin rètziné, vous avez le choix entre la bouteille industrielle du genre Kourtaki, et aussi le rètziné local, qui parfois est surprenant de saveur. Dans ce dernier cas, vous demandez un demi litre, « missô kilo rètzina aspro varèllisia parakallô », et ils vont vous amener une carafe de vin rètziné en provenance de la barrique. Ensuite vient le moment éventuel du café ou du thé. Thé = « tsaï ». Pour ce qui concerne le café, si c’est une ressemblance de café français, il faut demander un « expresso », ce qui se traduit souvent par un infâme nescafé. Si vous voulez un café grec il y aura 3 sortes : le « skêtto », pas de sucre, le « mêtriô », avec un peu de sucre, et enfin le « glicô », sucré. Donc pour commander des sucrés, par exemple ce sera « êllènikous glikous » s’il y en a plusieurs, et si le serveur vous demande « pôssô »( combien) alors vous lui montrez le nombre au cas où vous ne parlez pas le grec. Si ce n’est qu’un seul café grec sucré ce sera « éna êllêniko glicô ». Des limonades pour enfants = « portocalada » et une bière pour adulte ce sera simple = « bira » qui au pluriel donnera « birès ». Des bonnes adresse de Tinos, bon il ne s’agit en aucun cas de vous envoyez chez mes amis, mais ce sera le résultat de nombreux repas sur pas mal d’années, ce n’est pas figé, car les enseignes changent les cuisiniers ou propriétaires aussi. Ce sera un « mix » entre des impressions personnels et des avis d’autres personnes rencontrée. Mais le retour des gens sur ces diverses adresses a été tellement bon, que je vous les fait partager. Le « summum » de la qualité sur cette île est sans conteste MIKAELIS, et le nom de sa taverne est « Pentostrato », ( traduction (aux 5 routes )..le problème est de la trouver, mais quand on y est allé une fois, là on se rappelle… ! Elle se situe comme ceci, traverser Skalados, en allant en direction de Volax, mais quand vous apercevez Volax, n’y descendez pas, vous continuez la route en face, au milieu des rochers, puis débarquez après un col, en vue d’un grand plateau. Après 2 km , vous arrivez à un grand carrefour et là vous apercevez un restaurant sous la verdure, c’est là. Une simple visite en cuisine c’est un récital, et en bout de récital, non seulement vous ne vous rappelez plus de ce qui a été dit au début, mais tout est tellement alléchant que le choix comme me l’ont rapporté des amis … « est toujours dramatique , on ne peut quand même pas tout goûter… !» Plusieurs raisons, les moutons et biquettes de MIKAELIS sont élevés dans ses prés qui sont parsemés de thym et de sauge sauvages, ce qui explique que lors de la cuisson = pas grand-chose à rajouter, ils sont « confis » dans les aromates… ! A rajouter à ceci que la femme de MIKAELIS est originaire de Mythilène , île qui est réputée pour sa bonne cuisine et la boucle est bouclée. Si vous faites réciter le menu à Popi ( diminutif de Pénélopi ) la serveuse, vous verrez que c’est un acte d’héroïsme….mais attention il vous avoir du temps disponible…. Et enfin, ce restaurant est probablement un des moins chers de Tinos, donc pourquoi se priver. Pour vous y rendre, vous serez passés à Skalados devant une taverne bleue toute en longueur qui s’ appelle GOURNI. Dans cette taverne, il y a un jardin d’ enfants , si vous voulez avoir la paix une heure avec vos enfants, allez là ! Garantie… un mini Disneyland… Au niveau du menu, c’est du genre qu’ avez-vous fait à manger, c’est de la cuisine familiale, mais très bonne.. Et attention, si vous commandez une omelette, ne mangez que cela… pour 2 personnes… ! Les souvlakis sont très bons, et Mairy parle un français impeccable. Une deuxième taverne très bien au niveau de la cuisine, c’est au petit port de Panormos. Il y a 2 tavernes l’une à côté de l’autre, une est de cuisine traditionnelle qui est très correcte, et l’autre de couleur jaune a une recherche au niveau de la cuisine. Exemple « Seiche dans son encre » et bien d’autres choses, pas besoin de commander en grec, la patronne parle français. Sur Pirgos, sur la place du platane, il y a la taverne à côté de la fontaine qui a des gâteaux très bons et faits maison, goûter le Galactobourrico, très bon. La taverne qui est en finale gauche de la ruelle par laquelle vous arrivez sur cette place est réputée comme bonne, je n’ai pas testé. Par contre ne vous aventurez pas dans la taverne qui est en face des arrêts de bus, depuis 15 ans une chose est constante, ce n’est pas bon du tout. A Isternia, il y a le village et en bas, le port. Dans ce petit port, sur la gauche, il y a une taverne très sympa au niveau du décor interne, très bonne au niveau de la nourriture, mais les prix le sont un peu moins, dommage. Sur la droite, il y a O Ormos ( la baie ) qui au niveau des poissons est le « top ». du frais de tous les jours. Et s’il a fait une soupe de poisson, précipitez vous. Les soirs d’été, c’est le rendez vous des grecs en vacances. A Smardakito, sur la route de « Tinos port » vers Isternia, sur la droite en route, vous avez une taverne qui longe l’église et face à un ancien abreuvoir à moutons, le cadre est super le soir, le jour il fait très chaud. A Volax, juste avant le village, il y a sur la gauche une indication « O Rokos », et un parking, allez vous garer car l’entrée du village est souvent embouteillée. Le restaurant du parking est très très bon. Ils amènent dès votre arrivée des toasts que les gens dévorent en attendant que le repas soit prêt. Les « anguinarès » ici sont « maison » et succulentes. Le vin rétziné au tonneau aussi. Le serveur se débrouille en français. Ils font des salades aux herbes des montagnes spécialité de la maison aussi. Sur la terrasse, la vue est très sympa. Au-delà de Dia Koria, il y a une taverne à côté d’une cascade et d’un lavoir qui fait de la cuisine de village très correcte. Sur la route entre Tinos et Isternia, à un moment sur la gauche est indiqué Kardiani. Vous descendez tout en bas. Après être passé près d’une taverne qui est dans un virage et qui est réputée bonne mais très chère, vous longez la plage par le chemin peu carrossable et allez vous garer au bout sous les arbres. Cette taverne qui est tenue par un monsieur qui s’appelle Philipas est une des 3 ou 4 meilleures de l’île. Plein de spécialités, et en plus vous êtes sur la plage et à 10 m de l’eau. C’est le coin secret des grecs du coin…les touristes sont très rares. Sur Tinos ville : Surtout de la cuisine traditionnelle car les pèlerins préfèrent ne pas être dépaysés ! Sur le port, vers la droite dos à la mer, il y a juste après l’immeuble un peu rose, une taverne avec de la « Galléo mai scordalia » super. Si en montant la petite rue de commerce des « bondieuseries », vous prenez la première ruelle à droite, il y a une première taverne de spécialités locales qui est très bonne, et au bout il y a Pigada ( ce qui veut dire « le puits » ( sous la taverne, mais il a été rebouché ) dont le patron s’appelle KOSTAS et la patronne MARIA et qui est une figure du quartier. En passant jetez un regard sur Georges qui est un coiffeur hors pair, il faut compter au moins une heure par coupe, c’est à l’ancienne, cheveu par cheveu. Et PIGADA est connu pour sa loukaniko sympa , normal, il va la chercher au boucher qui est à 2 m de sa taverne, et compte tenu du gabarit de Kosta, le boucher a intérêt que sa « loukaniko » soit irréprochable ! Une autre taverne , en remontant à partir du port, la rue qui est entre la banque et le quincaillier maritime, la 4ème à gauche, il y a la taverne O KYPOS « ( le jardin) , vous vous installez sur la terrasse derrière loin de toute circulation, et la cuisine y est très très bonne. Sur le port, les tavernes du quai sont des attrapes touristes, c’est correct mais à prix délirants. Par contre, allez à côté de la halle à poisson, où vous apercevrez probablement le Pélican de l’île, s’il n’est pas là, c’est qu’il fait la sieste dans la poissonnerie qui est fermée. Attention la taverne qui est en face gauche du poissonnier = pas terrible du tout, par contre celles qui sont sous le tunnel de verdure sont très bien, et en particulier le soir à la fraîcheur. Si vous voulez voir une curiosité et que vous voulez grignoter un petit en cas en bord de plage, vous suivez ceci : Dos à la mer, vous suivez le port vers la gauche vers Kionia, environ pendant 300 à 400 mètres, sur la gauche vous allez voir un night club, et d’un seul coup la route descend sur 30 m. Dans cette descente de suite à 20 m, sur la gauche il y a un chemin qui aboutit sur un petit parking. Et une chapelle. Garez vous, et en descendant vers la plage, sous la chapelle il y a quoi ? Une taverne, il faut oser hein… ! Et derrière la taverne, un petit coin à l’ombre afin de boire un ouzo, manger un peu, et dans sa taverne il a un peu de tout. Faites une visite de la taverne, c’est vite fait, elle fait 5 m sur 2… ! Et devant vous vous avez l’ancien port antique de Tinos avec des vestiges qui dépassent de l’eau. Bon fini de manger , maintenant on se ballade…. Donc après ce port antique qui est à voir, il y a Volax qui est une curiosité d’un village perché en plein milieu d’un plateau qui est un énorme éboulis de rochers, et quand je dis énorme vous verrez que je suis un peu au dessous de la réalité. Le tour du village est superbe, et ne ratez pas le coin des lavandières qui date de 1821 environ, mais n’allez pas au-delà , le propriétaire est un peu allergique aux touristes, normal, c’est sa maison et il est arrivé qu’il retrouve des « indélicats » pratiquement chez lui. Vous y verrez des artisans du rotin. Ensuite il y a Pirgos, et son école de sculpteurs, à ne pas rater. L’école se situe quand on part de la place du platane en remontant à pieds la rue en pente douce, environ à 150 m sur la droite, regardez au travers des fenêtres les chefs d’œuvre en cours. De plus vous pouvez visiter bon nombre d’expositions d’artistes. Les plus belles sont sur le bord de la route, en particulier celui qui est dans le grand virage. Du côté de Porto Tango = rien à voir, la défiguration de l’île y est amorcée. La vallée des pigeonniers, c’est entre Tinos et Isternia, prendre sur la droite Smardakito et vous aurez un bon point de vue. Un village à voir c’est Tripotamos, c’est simple, lorsque vous partez vers Isternia ce sera après la grande montée en partant du port, et face à l’Exomvourgo ( grosse masse rocheuse) le village de droite en arrivant au col. Pas de voitures dans le village, mais il vaut la visite.= ( ruelles enchevêtrées…) Au-delà de Pirgos, à 1 km, vous avez Panormos , une baie superbe avec une île qui s’appelle Planitis en face. Si dos au port vous longez sur la droite la montagne aride, vous aboutissez sur des plages un peu désertes mais de beau sable fin. Vous avez au niveau de la baignade la double baie de Kolombithira, 2 baies et plages l’une à côté de l’autre. Et les 2 tavernes sont sympas, celle du haut a des terrasses qui ont un panorama d’enfer… ! Celle du bas la dame est originaire de Komi et fait une cuisine traditionnelle sympa. Voici pour l’essentiel des choses à voir sur Tinos, et pour ceux qui se sentent inspirés par la visite du Monastère, il comporte un musée avec des dons de bonnes œuvres qui sont à voir.




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